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Crónica e imágenes: «The 20/20 Experience» World Tour en Montreal, 25 de jul.

Justin Timberlake brings his 20/20 Experience to the Bell Centre

The Gazette — It may have taken nine months longer than expected, but American pop phenom Justin Timberlake finally brought his 20/20 Experience World Tour to the Bell Centre on Friday night.

Friday’s two-and-a-half hour set was the first of two Montreal shows for the Memphis native, who was originally set to perform last Halloween and Nov. 1, although rehearsal delays forced their postponement. He also plays Saturday.

The 17,000 in attendance were wise to keep their print-out tickets stashed away in a safe place all these months. Timberlake and his Tennessee Kids — four backing singers, four horn players, two guitarists, a bassist, three keyboardists and two percussionists — masterfully guided fans through an immaculately paced set with a thrilling conclusion of Take Back the Night, Suit & Tie, SexyBack and Mirrors as the centerpiece. The final 30 minutes of this set catapulted what had already been an enjoyable show into something far more momentous.

The night began with a silhouetted orchestra playing on the rear white screen, which was made up of hexagonal pieces. Then Timberlake emerged — not in suit and tie but rather white shirt and sneakers — followed by his band, which spent the night alternating between playing on stage and disappearing under the floorboards.

Openers Pusher Love Girl and Gimme What I Don’t Know (I Want), which open each 20/20 Experience record, respectively, allowed the large band to work out some initial sound issues. The show was travelling at normal speeds until a few songs later, when My Love — a radical pop production that sounded alien upon its release in 2006 — was dramatically deconstructed. Timberlake started by rapping a variation of T.I’.s guest verse on the song, stopped, then sang the memorable opening verse with a backing piano. Reducing an explosive pop experiment to its core elements seemed like an unnecessary re-jigging, but Timberlake proved to be a master of deception, and those spatial synths soon kicked in. Not all of Timberlake’s hits were reworked to such an extent, but the arrangements were sophisticated, even when the low-end was thumping.

He danced throughout — a looser limbed, softened variation of the more intense routines he did with ‘N Sync. At 33, he’s yet to relinquish his heartthrob status. A girl in the audience was reduced to tears over Timberlake wishing her a happy birthday. «You’re 25? You still don’t know s**t», Timberlake joked, something he probably wouldn’t have gotten away with during his boy band days.

Another wise move was condensing the section of the night devoted to the 20/20 Experience albums, released last year following a lengthy hiatus, into a concise four song movement. The albums are fairly bloated, so a little crimping was necessary. Let the Groove Get In was extended into a Latin dance sequence by Timberlake and his dancers, who at that point where elevated over the crowd on a moving catwalk. They made their way to the back of the room, where they settled into the VIP section, which was placed around where the soundboard usually sits.

In this more intimate setting, Timberlake acknowledged his Memphis roots with a cover of Heartbreak Hotel, then paid tribute to his idol Michael Jackson with a cover of Human Nature.

The final section of the night was a flurry of haymakers only a diligent pupil of the MJ and Rat Pack playbooks could have engineered. Funky MJ-esque party cut Take Back The Night brought him back to the main stage. He mixed covers of Jungle Boogie and new jack swing favourite Poison with his own Murder, then played sabbatical-breaking single Suit & Tie. SexyBack was transformed thanks to hair metal guitars and a jam block, but it was a splashy, heightened version of Mirrors that capped the night in appropriately grand fashion. (He omitted the album version’s subdued ending.)

It was a show that started slowly, but gradually revealed more dimensions as the night progressed. Once again, Timberlake made Montrealers wait, but confirmed his mastery of the build up.

Sur le trône: Justin Timberlake

La Presse — Lorsque Justin Timberlake a entonné Human Nature, une des plus mémorables de feu Michael Jackson (en voie de devenir un standard de jazz, ce qui en dit long sur sa pérennité), la passation des pouvoirs tombait sous le sens.

De tous les artistes de variété anglo-américaine, cet homme de 33 ans est le plus accompli. Il a beau provenir d’un boys band préfabriqué (NSYNC) comme le sont tous les boys bands, le mec originaire de Memphis a fait un méchant bout de chemin depuis lors.

Aucune opposition au pinacle de la pop. Pour une rare fois dans le monde des spectacles à effets spéciaux vendus à prix d’or, il n’y avait rien à regretter en ce vendredi soir de pur plaisir au Centre Bell.

De Fred Astaire à Madonna en passant par Crosby, Sinatra, Michael ou Prince, Justin Timberlake incarne cette tradition centenaire du showbusiness américain. Il en a intégré tous les cycles, il en écrit un chapitre entier. La danse des grands entertainers. Les références musicales parfaitement maîtrisées (soul, hip hop, blues, rock’n’roll, musique latine et plus encore). Les arrangements profus, spectaculaires, magnifiquement ciselés. Difficile de souhaiter plus grandes innovations technologiques pour la scénographie et les éclairages — la séquence de la passerelle mobile sur laquelle le chanteur et ses danseurs traversent la patinoire est en soi une pièce d’anthologie pour tous fans de showbiz top niveau.

Bien sûr, la prééminence des effets spéciaux dans un tel spectacle demeure paradoxale: il faut conquérir un immense marché pour se permettre de tels investissements et, conséquemment, des prix très élevés… qui rendent immensément riche une infime minorité d’artistes et de promoteurs. Pour l’instant, le système économique qui prévaut n’offre aucune autre alternative: seuls les blockbusters pop permettent autant d’innovation technologique. Dans bien des cas, la créativité des effets spéciaux est plus remarquable que le contenu auquel elle se consacre. On observe le même phénomène au cinéma, inutile de le souligner.

Dans le cas de Justin Timberlake, on ne peut conclure à un tel vide. Malgré l’immensité de cette machine à divertir, aucune arrogance, aucune faute de goût, la grande tradition du showbiz américain nous contemple. Seule ombre au tableau, les ajustements trop longs de la sonorisation en première partie… qui seront probablement effacés de nos mémoires différées.

Au pays de la pop à grand déploiement, rien ne rivalise avec le vaisseau piloté par Justin T. Le monde de Lady Gaga n’a pas cette cohérence malgré une pléthore de bons flashs au programme de ses shows (parfois hirsutes, mal intégrés), celui de Lana Del Rey n’a pas (encore) cette prestance, celui de Bruno Mars n’a ni cette classe ni cette envergure. Si Janelle Monae avait ses moyens ? On reste dans les si…

Justin T. n’a certes pas la profondeur musicale d’un Prince ou d’un Stevie Wonder. En studio, il n’a pas réussi les coups de maîtres de Michael J. (Thriller et Bad) dont il est en bonne partie tributaire de la personnalité vocale. Peut-être n’y parviendra-t-il jamais.

Sur scène, en tout cas, je ne lui vois pas d’équivalent en 2014.

Un concert presque parfait signé Justin Timberlake

Le Journal de Québec — Difficile de trouver des défauts à Justin Timberlake. Surtout après avoir assisté à son concert au Centre Bell hier soir.

Il bouge bien (ses déhanchements provoquent des cris à tous coups), chante bien (sans lip sync), dégage un charisme indéniable et possède un répertoire truffé de tubes en puissance. Certes, il présente un spectacle réglé au quart de tour, mais son naturel nous fait oublier la grosse machine derrière sa démonstration de savoir-faire.

Son charme tantôt sympathique, tantôt séducteur a opéré à plein régime durant deux heures auprès de 17 000 fans qui remplissaient la salle.

Une foule survoltée

Les fans de Justin Timberlake étaient impatients de retrouver le chanteur. Et pour cause. Son dernier concert à Montréal remontait à 2007. Les retrouvailles tant attendues devaient avoir lieu en octobre dernier, mais la star avait repoussé son passage au Québec «pour des raisons de logistique».

Avant même le début du spectacle, les cris hystériques retentissaient aux quatre coins du Centre Bell. Les élans d’enthousiasme des spectateurs ont semblé prendre le chanteur de court à quelques reprises durant la première partie. «Montreal, I fucking love you too!» a-t-il lancé après une montée de décibels qui refusait de mourir. Plus tard, il a élevé les enchères : «Sans blague, vous êtes la foule la plus folle que nous avons eu durant cette tournée». Un compliment senti et très flatteur, compte tenu qu’il a donné plus de 80 spectacles partout dans le monde depuis novembre.

Des hits, encore des hits

Justin Timberlake est monté sur scène à 20 h 30. Après avoir titillé la foule avec un jeu d’ombres chinoises, l’Américains de 33 ans a sonné la charge avec Pusher Love Girl, extrait de 20/20 Experience. Dans un décor rappelant la pochette du disque, noir et blanc, élégant, moderne et léché, il souriait à pleines dents devant les envolées des spectateurs. «Montréal, vous êtes venus faire la fête!» s’est-il écrié.

Devant une grande toile de fond composée de centaines d’alvéoles desquelles sortaient des faisceaux lumineux, Timberlake a enchaîné avec Rock Your Body, une pièce de 2002 durant laquelle sont apparus six danseurs.

Bien qu’il verse dans la pop aux accents soul et R’n’B, Justin Timberlake aime bien s’entourer d’un band complet. Batteur, percussionniste, claviériste, guitariste, bassiste, quatre choristes et autant de cuivres… Ils étaient tous présents, magnifiant des chansons comme FutureSex/LoveSound (une ambiance James Bond), My Love, TKO, LoveStoned et Cry Me a River.

Timberlake était particulièrement en voix hier. Puissant et juste, son falsetto a répondu à l’appel durant toute la soirée, notamment durant la ballade Until the End of Time, jouée seul au piano.

Malgré l’entracte

Hormis un entracte inutile de 10 minutes à mi-parcours, JT a livré un spectacle sans faille, le premier d’une série de deux à Montréal. En seconde moitié de soirée, il a gardé le pied sur l’accélérateur avec entre autres Senortia et Tunnel Vision. Durant Let the Groove Get in, le showman a traversé le parterre sur une passerelle mobile de plusieurs mètres de hauteur pendant que ses fervents admirateurs jubilaient. Destination : une mini scène située dans la foule, pour entonner — guitare en mains et dans une plus grande «intimité» — Heartbreak Hotel d’Elvis Presley. Timberlake a joliment enchaîné Not a Bad Thing, Human Nature de Michael Jackson et What Goes Around… Comes Around, en version acoustique, chantée en chœur avec le public.

Après cette baisse de tempo fort appréciée, la star a retrouvé ses quartiers pour conclure en apothéose avec les irrésistibles Take Back the Night, Suit & Tie et SexyBack plus pesante que d’habitude sous une orgie de lasers. Une dernière avant de partir? L’élégante Mirrors pour finir en apothéose.

UNE STAR AU SOMMET
Plus que jamais, Justin Timberlake mérite son titre de «Prince of Pop». En voici la preuve :

  • Deux spectacles au Centre Bell de Montréal
  • Des billets variant de 63 $ à 193 $
  • Numéro 26 au palmarès Forbes des célébrités les plus puissantes de 2014, grâce à des revenus de 57 millions $.
  • Une tournée mondiale étourdissante: 131 concerts sur 5 continents. Des recettes aux guichets avoisinant les 150 millions $ depuis son lancement à New York en novembre, selon Pollstar.
  • Sept prix aux derniers Billboard Music Awards, incluant Meilleur artiste.
  • Un poids lourd des médias sociaux: 33,2 millions d’abonné sur Twitter et 38,6 millions de fans sur Facebook.
  • Album le plus vendu de 2013 aux États-Unis: The 20/20 Experience s’est écoulé à 2,43 millions de copies, selon Nielsen Soundscan. Au Québec, il occupe le 13e rang

Justin Timberlake au Centre Bell de Montréal

Sors-tu? — Dans un décor assez simple et imposant composé d’un écran à motifs hexagonales sur lequel étaient projetées des images du chanteur majoritairement, Justin Timberlake était accompagné des Tennessee Kids, qui méritent amplement les mêmes éloges que le chanteur. Cuivres, guitares, basses, deux batteries et les choristes émergeaient littéralement de la scène.

L’interaction du chanteur avec le public est tout à son honneur, mais sans ses choristes et la foule, on se demande si Timberlake peut chanter ses refrains. On aime qu’un artiste fasse participer la foule, mais à dose plus modérée. On se retrouve plus souvent qu’autrement à chanter avec une piste vocale en playback alors que Justin Timberlake se concentre sur ses pas de danse.

On pense entre autres à la très populaire What Goes Around… Comes Around, offerte en acoustique. Très beau moment qui aurait pu être beaucoup plus touchant si le chanteur nous l’interprétait d’un bout à l’autre.

Mis à part sur ce point, l’artiste a démontré l’étendue de ses multiples talents. Chorégraphies et déhanchements n’y manquaient pas et même si on aurait voulu en entendre plus, Justin Timberlake pousse la note et l’atteint sans difficulté malgré ses mouvements constants.

Son énergie et sa présence sur scène charment le public, qui est resté debout du début à la fin du spectacle. Lorsque le chanteur s’arme d’un instrument, que ce soit un piano à queue, un clavier ou une guitare, il prouve qu’il n’est pas qu’un simple chanteur pop préfrabriqué. Pour les pièces Until the End of Time et Drink You Away, par exemple, on peut réellement apprécier l’artiste vocalement autant que musicalement.

Moment fort du spectacle en deuxième partie, lors de la pièce Senorita, le chanteur se trouve sur une immense plateforme qui se détache de la scène pour se déplacer d’un bout à l’autre du Centre Bell. Justin Timberlake s’est ensuite positionné en plein centre de la foule pour interpréter plusieurs de ses succès attendus, notamment What Goes Around Comes Around, Take Back the Night et Not a Bad Thing.

Justin Timberlake a terminé en force avec Suit & Tie, Sexyback et Mirrors alors que l’ambiance était à son comble au Centre Bell.

Dans la catégorie des spectacles pop d’envergure, l’artiste se classe sans contredit parmi les premiers. Les 17 000 personnes présentes lui ont bien fait ressentir. Timberlake a confié au public montréalais qu’il était le plus chaleureux jusqu’à maintenant dans sa tournée. Bien que ce sont des paroles fréquentes dans ce genre de spectacle, elles semblaient sincères et appréciées de la foule.

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